[CLOSED] Un brin de folie en ville [Rp Libre]

Dès que je suis arrivé sur Asura la ville en ruine paru le meilleur endroit où m'installer, en effet, une quantité de ressources non négligeable se trouvait en ville, et les quelques personnes installées ne se côtoyaient pas ou peu. De plus, ce qui m'attira fut le tribunal de la ville, spacieux, bien éclairé par les trou dans le toit, mais surtout et peu à l'écart du centre ville, en banlieue même. Ce qui fut d'ailleurs un très bon choix d'installation, avec mes hommes, d'anciens prisonniers travaillant avec moi, quatre gars bien baraqués et leurs chef, Antoine, un gars plus petit mais maîtrisant plus de quatre arts martiaux d'après ce qu'il disait. Enfin, pour le nombres de personnes qui m'attaque... J'ai pût, après quelques mois, recruter d'autres personnes, banale mais écoutant mes ordres tant qu'elles ont le ventre plein, ce que je peux leur offrir. La fait est que j'ai un champs, près du tribunal, j'aurai apprécier faire pousser du blé, mais sans graines... Heureusement un de mes hommes trouva une plante, sorte de fougère, poussant lentement, faisant de grosses baies rouges toxique mais dont les rats raffolent. Et nous on raffoles des rats bien cuits.
Enfin, il faudrait que j'arrive à revenir jusqu'au tribunal au moins, ce qui est pas gagner quand on est parti tout seul.
Après avoir espionner encore un peu Vaul et Thalia je préféra suivre Brynn et Kiira vers la ville.
Elles rentrèrent dans une maison et je ne pus les suivre, je me cacha donc devant l'appartement, attendant qu'elles sortent.
Mais quand je les vit ma foi fort bien armées, je décida plutôt de rentrer directement au tribunal, jurant dans ma barbe spirituelle et en espérant ne croiser personne d'autres sur mon chemin encore long zigzaguant entre les immeubles habités de la ville...

Sur le retour de notre escapade dans les rues, Brynn dans mes bras, j'ai croisé une silhouette humaine, à quelques pâtés de maisons plus loin. C'était louche. On se sentait toutes les deux observées depuis notre départ du camp. Il avait l'air de sortir de la ville. J'ai retenu l'endroit ou il était parti. Je voulais en savoir plus. En attendant, je devais m'occuper de mon amie blessée.
Nous étions rentrés, en sécurité dans l'appartement. Elle m'avait proposé de me soigner, mais j'étais restée près d'elle, au cas ou.
Pendant ce temps, je nettoyais l'arme que j'avais récement trouvée, un calibre magnum, M29 Satan de chez Smith & Wesson. Une belle bête. Après des heures de travail, le canon était lubrifié, le revolver était comme neuf.Je n'ai jamais vu une vieille arme aussi bien conservée. Après plusieurs tirs d'essais, il fonctionnait.
Je me suis ensuite endormie aux côtés de Brynn, m'assurant de son bon rétablissement.
Le lendemain, je me suis levée bien plus tôt que d'habitude. Malgré notre altercation avec cette immonde chose qui a failli nous tuer, je devais établir une carte des lieux, pour mieux combattre, et trouver des ressources. C'était aussi pour un repérage personnel.
De bon matin, frais, après avoir avalé mon médicament, je suis partie dans la rue, armée de mon nouveau joujou.
J'étais repassée via la rue par laquelle nous nous échappions, tout en faisant un plan des lieux. Je m'arrêta dans un croisement,et je tourna la tête vers la rue ou j'ai croisé cette silhouette. Je m'y suis dirigée, tout en traçant mes lignes sur mon bout de papier. J'ai fait plusieurs tours dans les lieux, en cherchant des traces. Et après une heure de marche, j'ai finalement trouvée des traces de pas fraîches, ou apparaissait la même couleur qui m'a menée au camp. Cette couleur n'était composée ni de rouge, ni de bleu, ni de jaune, ni de vert, ni de rose, ni de blanc, ni de noir. Je ne saurai la décrire, je n'avais jamais vu ça auparavant. Je les suivait, jusqu'à totalement les perdre. Avec la luminosité grandissante du soleil, je ne les voyait plus. Tant pis. J'étais prête à faire marche arrière pour finaliser mon plan de la zone, quand j'ai vu de loin, un colosse traversant la rue, se dirigeant vers la ville.
J'ai couru, comme je le pouvais vers le premier abri.
Un tribunal, bien conservé. La grande porte en bois était verrouillée par une serrure en métal. J'ai pas réfléchi, la chose m'avait repérée, et me suivait. Je devais rentrer, pour éviter d'endurer ce que Brynn a enduré. J'ai tiré deux coups à bout portant ce qui a fait sauter la serrure, j'ai ouverte la porte d'un coup de pied, et je suis entrée en courant, pensant que personne ne rôdait dans cet établissement. Seulement, j'entendais des pas résonner. J'avançais, mon arme à la main, le doigt sur la détente, prête à tirer.
Je disais à haute voix :

-"Si il y a quelqu'un, s'il vous plaît manifestez vous maintenant, sinon je tirerai sans hésiter."

Nom de nom de mes fesses !

Je jurai en découvrant Kiira, devant mon tribunal, que faisait elle ici... Et comment a t-elle fait pour arriver avant moi? Je me cacha derrière une voiture et regarda ce qu'elle fit, priant pour qu'elle passe son chemin tandis qu'un colosse débarquait vitesse grand V vers le tribunal, sans savoir s'il avait vu ou non la demoiselle et je m'en fichais, il ne fallait pas qu'il pénètre dans ma demeure. Et évidemment Kiira détruisit les cadenas puis entra dans le tribunal. Je me rua vers l'entrée, éveillant la suspicion du colosse.

Ça aurait été trop simple...

Dommage pour lui, je ne suis pas une cible facile moi, je sais maîtriser mes pouvoirs, et je sais comment troubler ces saletés de monstres. Je rangea mes armes, mon grand manche de marteau et un revolver oriental puissant marchant sans balle, et me concentra pendant que le colosse se rue sur moi. J'attends, sans bouger, médite et le moment arrive.
Le colosse est sur moi, il lance sa main massive vers moi, comme pour une gifle géante.
Et le coup me passe au travers, sans rien me faire. Je marche donc calmement vers le tribunal tandis que le colosse interloqué perd tout intérêt pour moi repartant vers la ville. Je pousse les portes voyant Kiira avec son arme, visiblement alarmée par des bruits de pas,heureusement que je suis tel un fantôme... Trois de mes hommes arrivent en courant. Antoine et deux de mes gardes, armés simplement de poings américains et d'un fusils pour Antoine. Ils sourient en me voyant assis sur une table derrière Kiira puis la regarde et les deux gardes prennent de sous le bureau du juge, une cage, couverte d'un drap noir. Ils continuent de la regarder et Antoine lui dit:

C'est une bien belle armes que tu as là ma belle, que dirais tu de me la prêter, hein? On pourrait se retrouver dans mes quartiers aussi?

Je ne peux me retenir de rigoler doucement en attendant la réponse de la demoiselle

J'étais assez rassurée quand j'ai vu des humains arriver. Ils étaient armés, mais ils me semblaient hostiles. Je n'ai pas baisés ma garde, je les visais toujours, perçant leur regards à travers le cran de mire. Je savais qu'une personne était aussi derrière moi quand j'ai entendu les portes s'ouvrir de nouveau. Ils ont sorti une grosse boite avec un drap noir dessus de sous un bureau, et j'ai vu une table ou un homme bizarre était assis. Ils étaient vieux, et celui assis sur la table avait une robe de juge, qui me donnait vraiment la gerbe.
Le système judiciaire et moi, c'est comme mon pays et la Russie pendant la seconde guerre mondiale, c'est une guerre interminable. Ma vie est basée sur une injustice.
Le gars armé du fusil, que je visais en priorité m'a parlé. Et je n'ai pas aimé ce qu'il m'a dit.

-"C'est une bien belle armes que tu as là ma belle, que dirais tu de me la prêter, hein? On pourrait se retrouver dans mes quartiers aussi?" Qu'il m'a dit !

Le salaud. On me parle pas comme ça, je suis capitaine du premier régiment de chasse orbitale de Finlande bordel ! On m'appelle chef.
Et ce "on pourrait se retrouver dans mes quartiers"... Je l'ai vraiment mal pris. J'ai été violée pendant deux ans, sans arrêt, dans des conditions inhumaines, menacée de mort, ou pire.
J'ai tiré un coup, qui est passé juste au ras de sa tête, à sa gauche. Les deux autres gus se sont affolés, mais lui il s'est calmé sur le coup.

-"Déjà tu vas m'écouter sale pervers, tu vas poser ce fusil par terre si tu veux pas avoir un trou entre les deux yeux."

J'ai regardé les deux autres qui se sont reculés. Ils allaient m'obéir de toute façon, tout le monde m'obéit.

-"Bon, on est ou la? Et pourquoi y'a une boîte par terre ? Et tu me veux quoi le pervers?"

Je regardais cette chose du coin de l'oeil, et je pensais effectivement plus à une cage qu'à une boite. Mais que pouvait-il y avoir dedans?
J'étais sur la défensive absolue. Je n'aurai laissé personne m'approcher.

Pervers, tout de suite, nous allons causer dans ma chambre petite sal...

A ce moment là, Antoine parla trop, on s'amuse avec les autres survivants, on les tues peut être, mais pas d'insultes chez moi. Un simple regard vers lui et Antoine se tut et baissa un peu les yeux de colère, ou de honte certainement. Je me leva et approcha de la demoiselle en ne faisant aucun geste brusque, pour ne pas briser mon intangibilité, je ne voulais pas finir une balle entre les deux yeux. Je lui tourna autour pour la détailler, elle semblait assez costaud, pas musclé mais devez savoir se battre, et viser aussi, aux vues du magnifique tir qu'elle avait fait. Je lui dit d'une voix grave, jouant sur l'effet de résonance du tribunal:

Vous êtes ici dans ma demeure mademoiselle, je suis le Haut-Juge Linus Granduroi,et c'est moi qui dirige ici, veuillez pardonner mes hommes, cela fait bien longtemps qu'ils n'ont vu de femmes vivantes... Mais plutôt, j'ai deux questions, que faites vous ici, d'où venez vous et comment pouvons nous vous aider?

Je dit cela avec un grand sourire, très certainement malsain puis me rendis compte qu'il y avait trois questions, et non deux... Pas très grave... Je fit aussi un signe de la main aux deux hommes derrière qui apportèrent deux autres cages recouvertes d'un drap noir. Tout en me retenant de rire, j’imaginais la suite du plan, cela faisait longtemps qu'il n'avait pas prévu de combat d'arène, encore moins dans mon tribunal.

Le pervers m'a contrainte à tirer une deuxième fois. Il m'avait dit : -"Pervers, tout de suite, nous allons causer dans ma chambre petite sal..."
Je suis restée silencieuse pour le coup, mais je rageais intérieurement. Je ne sais pas pourquoi il n'a pas fini sa phrase, c'était bizarre. Je ne sentais pas ces gens.
Seulement, le vieux assis sur la table s'est levé, et a commencé à parler.

"Vous êtes ici dans ma demeure mademoiselle, je suis le Haut-Juge Linus Granduroi,et c'est moi qui dirige ici, veuillez pardonner mes hommes, cela fait bien longtemps qu'ils n'ont vu de femmes vivantes... Mais plutôt, j'ai deux questions, que faites vous ici, d'où venez vous et comment pouvons nous vous aider?"
J'avais directement senti l'immonde odeur des juges. J'en étais sûre !
Enfin, il m'a posé ses questions avec son accent Français. J'avais nulle envie de répondre, mais je me suis forcée, en gardant un œil sur le pervers.
J'avais baissé ma garde,et rangée mon arme dans mon holster.
-" Ce que je fais ici? Je visite. Je viens de Finlande, et vous n'avez pas besoin de m'aider. Je suis juste ici pour échapper à ces gros molosses là dehors. Hier ils ont... Ouais et puis non, oubliez. "

Je ne voulais même pas les mettre au courant du fait que Brynn est dans un sale état. Qui sait ce qu'ils peuvent lui faire.
En tout cas, j'observais des cages arriver. Elles étaient grosses, et j'entendais des bruits venant de ces dernières. Des animaux, ou pire. J'ai reculé vers la porte, alors fermée. La serrure était toujours cassée, alors je me suis précipitée, et j'ai ouverte la porte d'une traite. Seulement, abrutie comme je suis, j'ai trébuchée sur une cale. Je me suis ramassée sur les escaliers du tribunal. En me relevant, j'ai vu d'un côté le molosse battre en retraite, et les six hommes étaient en train d'approcher.

La jeune dame n'était pas en confiance, ça se voyait, elle ne m'aimait pas non plus, peut être à cause de mon accent français, ou pas. En tout cas, elle venait d'un pays du nord, la Russie peut être, peu importe

-" Ce que je fais ici? Je visite. Je viens de Finlande, et vous n'avez pas besoin de m'aider. Je suis juste ici pour échapper à ces gros molosses là dehors. Hier ils ont... Ouais et puis non, oubliez. "

Si elle le dit, ainsi, elle a croisée des colosses, la pauvre, elle aurait pût mourir.... Bref, passons, c'est pas comme si elle était en train d'essayer de s'enfuir. Dommage pour elle, un petit bout de bois me sauva la mise et la fit trébucher. Je claqua alors des doigts, dissipant mon intangibilité et les portes se fermèrent en claquant dans un grand bruit, aaaah le contrôle des atomes, c'est délicieux...
Mes hommes commencèrent à l'entourer, sans trop s'approcher de peur de prendre une balle. Je leur fit un signe et ils comprirent de suite l'ordre: ils se reculèrent tandis que je m'assis à la place du juge, sur un haut siège dominant la pièce et qu'un bruit venant de l'extérieur signifie que les portes sont closes.. Définitivement

Mademoiselle, vous êtes ici condamnée pour infraction sur un bien de la communauté et violation de domicile, qu'avait vous à dire pour votre défense? Je m'en fiche en faite... Messieurs, la sentence!

Kiira semblait un peu déstabilisée, logique, face à un juge comme moi.... Les hommes, tout heureux, sortirent deux autres cages et enlevèrent les draps les recouvrant puis les ouvrirent, déversant la principale ressource de mon clan, des énormes ronges-corps, affamés, prêt à manger n'importe quoi, ou qui.... Ils se jetèrent vers Kiira tandis que j'ordonne à mes hommes de se retirer, me laissant seul avec Kiira, et les ronges-corps bien sûr... La folie a du bon des fois....

Le vieux s'était assis à sa place de juge. Le voir là haut m'avait fait sourire, sauf qu'il était parti dans son délire, et a fait reculer ses hommes d'un coup. A ce moment là, je savais que j'allais être attaquée. C'était si simple à comprendre. Ces cages, ces gardes. C'était une embuscade. Encore une fois, la justice a été injuste.
D'une traite, le vieux me dit : " Mademoiselle, vous êtes ici condamnée pour infraction sur un bien de la communauté et violation de domicile, qu'avait vous à dire pour votre défense? Je m'en fiche en faite... Messieurs, la sentence! "
Je ne pu m'empêcher de rire en entendant ça. La communauté.
Avant de voir les hommes ouvrir les cages, je répondit "Vous recevrez bientôt votre sentence à vous... Vous me jugez parce que j'ai pété une porte, mais vous ne jugez pas les soldats en temps de guerres, alors qu'ils enlèvent des vies. La justice n'est qu'intérêt et corruption. Vous paierez pour mon père."

J'ai ensuite reculé d'un coup en voyant des gros rats affamés. Cela ne m'effrayait pas des masses. Je me suis rapidement mise à courir, en sautant au dessus des bêtes, avant de me battre à mains nues. J'ai arraché la tête du premier, et j'ai ensuite repéré le mâle alpha. Si je le tuais, les autres allaient avoir peur de moi. Sauf que là, il avait l'air bien plus gros que d'habitude. Ils l'avaient nourri?
J'ai sauté dessus, et commencé à lui donner des coups de poing. J'ai vite été attrapée par tous les autres, ce qui me faisait me noyer dans une marre grise. Je me suis relevée malgré tout. Ils avaient beau me mordre et me griffer, je donnais des coups de pieds incessants au mâle alpha tout en me faisant attaquer de tous les côtés.Le mâle avait fini par en mourir suite à un coup de pied trop violent dans sa tête. Cette dernière, éclatée, fit reculer toutes les autres bestioles.
J'avais des griffures et des morsures sur le visage, sur les bras, le dos, le ventre, les jambes. Mais je me suis relevée difficilement, faisant face au juge.
J'hurla, tel un cri de guerre :

-"Voilà le jugement des justes !"
J'ouvrit ensuite le feu sur lui. Seulement, les balles ne semblaient ne faire aucun effet. Une mutation? Il pouvait passer à travers la matière?
Intéressant. Seulement, je n'ai pas réfléchi longtemps avant de comprendre son point faible. Cet homme était assis. Je me suis donc approchée, et je suis montée sur son bureau, et renversant son marteau d'un coup de pied.
Il me restait une balle. Je l'ai tirée à travers lui, sur le siège ou il était assis. Bingo, j'ai vu du sang couler, et j'ai entendu la balle impacter dans son corps.
Je lui avais touché les fesses, mais au moins, je l'avais touché.
En effet, la troisième loi de Newton veut que les forces s'égalisent, donc pour qu'il soit assis, si aucune force n'était égale, il flotterait dans les airs ou s’enfoncerait dans le sol, il avait donc un point de contact entre lui et le support qui exerçait une force. Sans point de contact, les forces ne peuvent s'égaliser.
-" Tu pourras toujours essayer de me juger, mais les lois de la physique ne jugent pas, elles agissent. "
J'ai vite descendu, avant de jeter un cadavre de ras contre la fenêtre pour m'enfuir. Une fois dehors, j'avais pour seul réflexe de courir vers notre appartement.
J'aurai ma revanche sur ce malade. Je te le promets, papa.

La jeune fille était finie, les rats la dévoraient de toute parts, la griffaient et la lacéraient, elle ne pouvait que mourir. Et puis non, elle décida que le scénario ne lui plaisait et elle tua de plusieurs coups de pieds le rat dominant, et le groupe tout entier arrêta de se battre, sous l'impulsion de la peur, je souris sur le coups puis je la vit s'approcher vers moi et me tirer dessus. Je ricana:

Inutile ma belle demoiselle, je suis intan...

Elle sauta sur le bureau avant que j'achève ma phrase puis elle dit d'une voix peu réjouissante:

-" Tu pourras toujours essayer de me juger, mais les lois de la physique ne jugent pas, elles agissent. "

Elle me tire une balle au niveau du bassin et je sens une étrange douleur sur mes fesses, la balle? Je grimace de douleur tandis que Kiira saute au bas du bureau et projette un cadavre de rat sur une fenêtre pour s'enfuir. Je sens mon coeur s'accélérer, mes médicaments !
Je farfouille dans ma poche et sort deux gélules faites de feuilles, remplie d'une décoction d'herbes médicinale faisant coaguler le sang. J'avale le tout et me relève, une main sur les fesses, l'autre s'appuyant sur mon marteau comme d'une canne.

Bande de crétins, elle c'est enfuit ! Remettez les rats dans l'enclos et les frères... Boulier, un truc comme ça dans mon bureau... Et de l'alcool fort!

Mes hommes reviennent penauds et font rentrer les rats dans les cages pour les ramener dans un enclos du camps situé à l'arrière du tribunal, un camps de grandes tentes résistantes pour la trentaine d'hommes que je dirige. Je monte dans un étage supérieur du tribunal, qui n'est plus délabré à partir d'un certain point, même très habitable. J'ouvre les portes de mon bureau, une pièce spacieuse avec un grand écran branché sur toute les caméras de la villes... Qui ne marchent pas vu qu'il n'y a pas de courant.. Une jeune fille entre et m'apporte du Whisky, vestige des citoyens habitant cette ville puis elle me dit que les frères sont là. Je m'assois et le fait rentrer, trois hommes en qui je place totalement ma confiance; l'ainé est grand, costaud, sa mutation lui permet de sécréter du poison au bout de ses poing massif, le second est maigre et pâle, voir vert, il peut, au simple contact injecté tout un tas de maladie mortelle, le dernier est une petite fille, au cheveux verts qui peut se rendre quasi-invisible, en se camouflant dans le décor, la plus fourbe et manipulatrice d'entre eux.

Bien, j'imagine que vous avez pourquoi vous êtes là, vous aller accomplir ma vengeance...

On la retrouvera, elle ne pas être bien loin. Répond l'ainé

Non.... Elle a gagné le procès, elle peut vivre... Vous allez tuer Brynn, ce sera plus amusant....

Ils sortent en courant pour trouver leur cible tandis qu'une demoiselle tout à fait charmante vient avec des bandages pour me bander les fesses... Je déteste cette Kiira...

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Si tout est dans le titre, je me permet de faire une petite explication ici

Tout comme Thalia, je suis TRÈS attachée à ce forum, dans lequel je me suis investie au maximum. J'en ai marre de voir …

Salut les loulous ! bounce

Aujourd'hui, un petit sujet un peu particulier qui me trottait dans la tête depuis un petit moment : Nous présenter, en vrai. Bon ok, certains d'entre vous n'ont …