Asura RPG Fantastique/Futuriste
Ave toi !

Ici, c'est un forum en pleine résurrection. Pourquoi ? Tout simplement parce que nous n'avions pas de gens comme toi !
Donc je t'en prie, installe-toi confortablement, navigue un peu chez nous à ta guise et s'il t'en prend l'envie, clique sur le petit bouton "S'inscrire" et accompagne-nous dans cette aventure périlleuse ! Nous n'attendons plus que toi !
Alors à bientôt sur ce merveilleux forum !
Asura RPG Fantastique/Futuriste
Ave toi !

Ici, c'est un forum en pleine résurrection. Pourquoi ? Tout simplement parce que nous n'avions pas de gens comme toi !
Donc je t'en prie, installe-toi confortablement, navigue un peu chez nous à ta guise et s'il t'en prend l'envie, clique sur le petit bouton "S'inscrire" et accompagne-nous dans cette aventure périlleuse ! Nous n'attendons plus que toi !
Alors à bientôt sur ce merveilleux forum !



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-40%
Le deal à ne pas rater :
-40% sur le Pack Gaming Mario PDP Manette filaire + Casque filaire ...
29.99 € 49.99 €
Voir le deal

 

 Brynn Cole

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Brynn Cole
Administrateur
Administrateur
Brynn Cole


Messages : 198
Date d'inscription : 06/06/2015
Localisation : DTC

Feuille de survivant
Orientation: Lesbienne
Âge: 24 ans
Mutation: Possède une vitesse hors du commun. Elle lui permet de développer une vitesse pour presque n'importe quoi (courir, guérir, analyser,...). Sa vitesse est perfectible au fil du temps.

Brynn Cole Empty
MessageSujet: Brynn Cole   Brynn Cole EmptyJeu 11 Juin - 2:24



Brynn Cole

♦ Née le 11 mars 2408
♦️ Âgée de 24 ans

♦️ Femme

♦️ Plus attirée par les femmes

♦️ Originaire de Owensboro, dans le Kentucky


♦️ Aime : Bricoler, rigoler, se faire des amis, aider et que le travail soit bien fait

♦ N'aime pas : Ne rien faire, obéir, les branleurs et tuer
♦️ Mutation : Permet à l'utilisateur d'avoir une vitesse hors du commun. Elle lui permet de développer une vitesse pour presque n'importe quoi (courir, guérir, analyser,...). Sa vitesse est perfectible au fil du temps.





A quoi qu'elle ressemble ?

Physiquement, Brynn est une femme très correcte, qui se fond facilement dans la masse. Des courbes bien dessinées, une bonne poitrine, malgré un léger complexe pour ses jambes, qui lui ont toujours parues trop grandes et disproportionnées par rapport à sa taille. Elle mesure 1m73 et ça lui suffit amplement ! Déjà qu'elle a l'impression d'être perchée sur des échasses !
D'un roux prononcé, elle n'a pourtant aucunes taches de rousseur. Elle a des yeux d'un vert un peu grisé. Elle s'habille un peu comme tout le monde de l'époque, simplement, l’ensemble classique. Mais bon, comme elle bricole beaucoup, elle y a ajouté quelques modifications, cela va sans dire !
Elle a pour habitude de sourire, ou du moins, que ces lèvres en disent autant. Elle n'a pas de mal à sourire aux autres car on ne peut pas dire qu'elle soit du genre à être très mystérieuse et déprimée, bien au contraire. Pourtant, tout le monde a sa part d'ombre. Et bien, elle aussi...

 




Comment c'est dans sa tête

Moi, c'est Brynn. Un prénom un peu naze je trouve, mais j'ai pas vraiment eu le choix à la naissance. J'étais assez turbulente, pas trop du genre à rester assise sur une chaise à regarder les mouches voler. On m'a toujours dit que j'avais la bougeotte.
J’ai 24 ans, et je suis sur l’île depuis bientôt 1 an et demi.
Originaire du Kentucky et vivant seule avec ma mère, je suis rapidement tombée dans la délinquance pour subvenir à nos besoins. Je déteste ça, mais lorsqu'il faut se battre, ma détermination ne manque jamais. Bien souvent, des échanges se finirent à la pointe de l'épée, et me savoir souillée de sang me rend malade.
Je ne suis pas fragile, mais je n'aime pas tuer. Pourtant, ça ne m'a jamais empêché de le faire.
Je sais me débrouiller, surtout sachant là où je suis née. Je m'occupais beaucoup de ma mère dès mon plus jeune âge. Habile avec de mains, je sais comment me servir de ce qui m'entoure pour survivre. J'adore bricoler toutes sortes de choses.
Je ne suis pas vraiment quelqu'un de très curieux, mais j'apprécie de connaître l'essentiel.
Mais il y a une chose importante à savoir : avec moi, c'est quitte ou double. Soit je vous aime, soit je ne vous aime pas.
Je ne donne pas ma confiance à tout le monde et je suis très méfiante vis à vis des autres.
Plutôt solitaire, j'aime que les choses soient faites correctement et que tout soit net, précis et concis.
Par contre, ça ne m'empêche pas d'être de nature enthousiaste, heureuse, la langue bien pendue et un mental d'acier. Rien ne peut me détourner de mon but.

 




Son Histoire

Par où commencer...

Je suis de Owensboro. Peu importe où on habite, c'est toujours la panique. Les gens ont pour habitude de piller, voler, tuer et détruire tout ce qui peut exister.
Il n'y a pas de lois et tout le monde est un peu maître de son destin. Le problème c'est que maintenant, respirer est devenu presque impossible, peut-être plus difficile que de trouver un ver dans la terre.
Déjà petite, vers mes 7 ans, je parcourais les rues pieds nus pour espérer collecter des matériaux de récupération voire même un peu tout ce qui traînait.
Ma mère était déjà faible à cette époque et afin de l'aider, j'ai appris à bricoler, construire et inventer toutes sortes de choses avec ce que j'avais sous la main. C'est ainsi que ma première invention vit le jour : un masque à oxygène.

Lorsque vinrent mes 11 ans, j'étais devenue la petite prodige de tout l’État du Kentucky et même les personnes des environs venaient pour obtenir mes inventions. Mais même si nos conditions de vie devenaient plus décentes chaque jour, ma mère, elle, mourrait à petit feu. Elle avait contracté la Carbonite, cette épidémie atroce. Étrangement, même en aillant un contact permanent avec elle, je n'ai jamais contracté la maladie. Je faisais tout pour l’amener dans les États riches de l'Amérique pour lui apporter des soins dignes de ce nom en essayant de gagner plus d'argent, mais aussi en participant aux différents trafics qui s'établissaient. J'étais obligée de me salir les mains, même si je ne tolérais pas ça, qu’importent nos conditions de vie.
Une fois arrivées dans l’état du New Jersey, à mes 15 ans, ma mère mourut. À mon âge, c’était le drame, je tenais à elle plus que tout, même si elle ne pouvait plus faire grand-chose à cause de sa maladie. Mais c’était ma seule famille et j’y tenais. Maintenant qu’elle n’était plus là, j’avais l’impression d’être une petite fille qui vient à peine d’apprendre à manger proprement. C’est comme si on m’avait enlevé tous mes repères, tout ce que je savais avait l’air d’avoir disparu loin dans ma tête.
Je décidai finalement de prendre ma vie en main car de toute manière je n’avais pas le choix. Et je me devais de lui faire des funérailles dignes de ce nom.
Des années passèrent, toutes plus dures les unes que les autres, toujours beaucoup de délinquance pour gagner sa croûte mais j’avais réussi, au bout de 12 ans acharnés à remonter dans les États, à atteindre New York ainsi qu'un semblant de richesse. J’avais beaucoup progressé en bricolage et c’était devenu un métier pour moi. Les autorités mises en place par les tyrans n’étaient pas vraiment d’accord avec tout mon grabuge car mes inventions valaient souvent des blessés, des vols et des trafics. Ce n’était pas vraiment de mon ressort, ce qu’il se passait avec mon travail. Tant que je le vendais, j'étais contente. Une fois vendu, il ne m’appartenait plus, donc je ne voyais pas pourquoi j'avais à m'en préoccuper. Mais les autorités n’étaient pas toujours du même avis et je faillis à maintes reprises me faire arrêter et emprisonner. La seule chose que j'avais faite de plus grave m’avait valu des coups de fouet sur la place publique.

J’avais réussi à vivre de manière convenable, même à trouver l’amour mais les bonnes choses ont toujours une fin et j’étais bien placée pour le savoir. Lorsque j’avais un peu plus de 22 ans, je voyais que les rues étaient plus agitées qu’à l’habitude. D'ordinaire méfiante, ce jour là, je ne me posais pas plus la question.

Les autorités allaient et venaient, emportant quelques personnes, parfois mitraillées de coups et le visage ensanglanté. Lorsqu’un des policiers pénétra dans ma maison en défonçant la porte avec ses énormes bottes de cuir noir luisantes et son gilet pare-balle, je n’eus pas de mal à comprendre qu’il venait pour moi ou pour ma petite amie. Dans les deux cas, la peine que je ressentais à ce moment là me déchira le cœur. Une larme coula sur ma joue et je me retournai vers ma petite amie en lui murmurant quelques mots tels que « tout va bien se passer », « il ne nous arrivera rien », même si aucune de nous n’en croyait un mot, avant de l'embrasser tendrement. Le policier agrippa mon bras violemment si bien que je cru qu’il allait me fendre l’os. Je me débattais tout ce que je pouvais, criant et pleurant. Je me retournais une dernière fois avant de passer le pas de la porte vers celle qui remplissait mon cœur de bonheur et lui cria, du fond de mon cœur, à m'en arracher les poumons, que je l’aimais plus que tout et que je la retrouverai toujours. Ce fut mes dernières paroles avant de monter à bord de cet énorme bateau, marchant dans une des 4 files menant à celui-ci.
Les visages étaient tous les mêmes, tristes, pâles, sombres et sales, la crasse couvrant leur peine et leurs larmes, les têtes toutes baissées. Je ne faisais pas exception à la règle. Certains étaient matraqués jusqu’au sang car ils n’avançaient pas assez vite. Tout ce cirque semblait insensé. Les Hommes étaient-ils devenus fous ? Qu’allions-nous devenir après ça ?
Pour la première fois -et j’espérais aussi la dernière-, les questions fusaient dans ma tête à tel point que je pensais qu’elle allait exploser comme un vulgaire ballon de baudruche. Mais mon souvenir le plus déchirant était de revoir en boucle le visage de celle que j’aimais, ses larmes et ses cris raisonnants encore dans ma tête.
Un coup de matraque me remit en marche et, nous, telles de vulgaires marchandises, montèrent à bord du bateau en trainant des pieds après qu'une puce nous soit insérée sous la peau et un numéro de série tatoué au bras. La douleur persistante, j'osais regarder mon avant-bras gauche gauche où avait été tatoué le numéro. La peau encore rouge, je lisais : B-34606. C'était littéral, j'étais maintenant réellement étiquetée comme une vulgaire marchandise.

Chacun avait sa cage. Car oui, ce n’était pas un bateau de croisière. Un peu de papier et une vielle assiette en métal rongée par la rouille trainaient au fond. Je n’osais pas m’assoir ni même m’assoupir pendant tout le trajet. Certains tentèrent de me parler mais je ne répondis jamais.
Le voyage semblait interminable, si bien que je finissais par me ronger la peau jusqu’au sang plutôt que les ongles. La seule chose qu’il me restait de ma famille et de ceux que j’aimais étaient le vieux masque à oxygène qui me servait à l’époque, accroché à mes vêtements pour ne pas qu’il soit volé et en dessous de mon haut, le pendentif de celle que j'aimais. Je pouvais encore être heureuse qu’ils ne me les aient pas retirés.

Une fois débarqués, c’était une île immense qui se dessinait. Une fois tout le monde descendu, le bateau s’empressa de refermer les portes et de lever l’encre. Nous étions livrés à nous-mêmes, dans cette immense surface inconnue.

Depuis ce jour, pas une minute ne passe sans que je ne pense à mon aimée et à ma mère, morte depuis bien trop longtemps à mon goût. L’amertume qui restait dans ma bouche me rappelait chaque fois ce jour maudit où ces salopards étaient venus m’arracher de mon foyer, de celle que j’aimais et de tous ces biens gagnés à la sueur de mon front, tout ça pour me retrouver paumée sur une île abandonnée, le cul sur un rondin à pleurnicher comme une fillette de 4 ans.
Mais je n'allais pas rester comme ça indéfiniment et ainsi débuta ma quête pour la survie, qui dure maintenant depuis plus d’1 an.

 


Mais sinon, t'es qui ?

Salut ! Moi c'est Chloé, mais on m'appelle aussi La folle. J'ai 16 ans et encore toutes mes dents. mad Y'a pas grand chose à dire sur moi si ce n'est que j'aime beaucoup jouer aux jeux-vidéos et tuer des monstres, dessiner, écrire, RP, parfois lire et les tomates. Je suis plutôt du genre folle dans la vie, je n'ai pas peur de me ridiculiser pour faire rire et je suis très sociable !
Dans tous les cas j'espère vraiment tous vous connaître et avoir le plaisir de jouer avec vous un petit moment !

Créé par Sinn sur Epicode



Dernière édition par Brynn Cole le Dim 30 Aoû - 20:03, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Administrateur
Webmaster
Webmaster
Administrateur


Messages : 19
Date d'inscription : 03/06/2015

Brynn Cole Empty
MessageSujet: Re: Brynn Cole   Brynn Cole EmptyVen 12 Juin - 22:52

Brynn Cole,

Ta fiche de personnage est très bien ! Fiche validée !
Tu peux désormais commencer àRP et si ce n'est pas déjà fait, penses à lire les règles générales ici :
https://asura-rpg.forumactif.org/t1-regles-generales

Au plaisir de te voir en jeu !
Revenir en haut Aller en bas
https://asura-rpg.forumactif.org
 
Brynn Cole
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» [CLOSED] En quête d'informations [PV Brynn Cole]
» [CLOSED] Un voile sur les yeux [PV Kiira Törni/Brynn Cole]
» Megan Cole
» La vie derrière soi [PV Eve et Brynn]
» [CLOSED] Un rétablissement mouvementé [PV Kiira/Brynn]

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Asura RPG Fantastique/Futuriste :: Le RP :: Présentation des personnages :: Présentations en cours-
Sauter vers: